Quiz Accessibilité

Excellent ! Le lecteur d’écran retranscrit bien le contenu par synthèse vocale ou afficheur braille. Il est utilisé principalement par des personnes en situation de handicap visuel, cognitif et/ou intellectuel.

Et non ! Le lecteur d’écran retranscrit le contenu par synthèse vocale ou afficheur braille. Il est utilisé principalement par des personnes en situation de handicap visuel, cognitif et/ou intellectuel.

Bravo ! Le RGAA (Référentiel général d’amélioration de l’accessibilité) est bien le référentiel français pour rendre les contenus et les services web accessibles à tous. Le WCAG (Web Content Accessibility Guidelines) quant à lui est l’équivalent international.

Le RGAA est le référentiel français pour rendre les contenus et les services web accessibles à tous. Le WCAG (Web Content Accessibility Guidelines) quant à lui est l’équivalent international.

Bravo ! C’est bien un score de 50% minimum qu’il faut obtenir suite à un audit pour être partiellement conforme aux critères du RGAA.

C’est un score de 50% minimum qu’il faut obtenir suite à un audit pour être partiellement conforme aux critères du RGAA.

Bravo ! Tous les sites publics, collectivités et certaines entreprises privées sont concernés depuis 2020. Même si certaines obligations existaient par le passé, elles ont été renforcées et élargies à partir de cette date.

Tous les sites publics, collectivités et certaines entreprises privées sont concernés depuis 2020. Même si certaines obligations existaient par le passé, elles ont été renforcées et élargies à partir de cette date.

Excellent ! Pour les images décoratives, il faut bien leur attribuer un alt="", sans ajouter de contenu, car ces images ne véhiculent pas d’information pertinente.

Les images descriptives, quant à elles, doivent avoir un texte alternatif pertinent (par exemple alt="Le graphique montre une progression de 12 points sur ces 2 dernières années.")

Pour les images décoratives, il faut bien leur attribuer un alt="", sans ajouter de contenu, car ces images ne véhiculent pas d’information pertinente.

Les images descriptives, quant à elles, doivent avoir un texte alternatif pertinent (par exemple alt="Le graphique montre une progression de 12 points sur ces 2 dernières années.")

Bonne réponse ! Il est important pour tous les utilisateurs d’ailleurs de bien comprendre ce qu’ils vont trouver en cliquant sur un lien, donc que l’intitulé soit explicite. Or, l’intitulé ‘Cliquez ici’ ne décrit pas l’action qu’engendrera le clic. Il peut engendrer de mauvaises surprises.

Il est important pour tous les utilisateurs d’ailleurs de bien comprendre ce qu’ils vont trouver en cliquant sur un lien, donc que l’intitulé soit explicite. Or, l’intitulé ‘Cliquez ici’ ne décrit pas l’action qu’engendrera le clic. Il peut engendrer de mauvaises surprises.

Bravo ! Il est inaccessible parce que certaines personnes ne perçoivent pas la couleur et que cette couleur est ici le seul moyen de communiquer l’information. La couleur ne permet pas à tous de bien distinguer l’information. Il faut donc l’accompagner par exemple par une forme différente pour bien distinguer les deux types de données représentées.

Ce graphique est inaccessible parce que certaines personnes ne perçoivent pas la couleur et que cette couleur est ici le seul moyen de communiquer l’information. La couleur ne permet pas à tous de bien distinguer l’information. Il faut donc l’accompagner par exemple par une forme différente pour bien distinguer les deux types de données représentées.

Excellent ! En effet, les cookies sont un élément de script (codé en Javascript). Le critère 7.3 du RGAA nous indique que tous les éléments de script doivent être contrôlables par le clavier et tout dispositif de pointage (stylet, toucher, souris, etc.).

Ainsi, tous les utilisateurs peuvent interagir avec les composants dynamiques de l’interface (cookies, carrousel, accordéon etc.).

Les cookies sont un élément de script (codé en Javascript). Le critère 7.3 du RGAA nous indique que tous les éléments de script doivent être contrôlables par le clavier et tout dispositif de pointage (stylet, toucher, souris, etc.).

Ainsi, tous les utilisateurs peuvent interagir avec les composants dynamiques de l’interface (cookies, carrousel, accordéon etc.).

Bravo ! Les balises h (heading) sont des titres. Elles servent à hiérarchiser le contenu en créant une structure logique. Le chiffre à côté du h représente le niveau dans la structure.
Qu’en dit le RGAA ? Le critère 9.1 nous indique que l’information doit être structurée par l’utilisation appropriée des titres. En effet, les titres sont un réel repère permettant aux utilisateurs avec un lecteur d’écran de naviguer plus facilement dans la page web.

Les balises h (heading) sont des titres. Elles servent à hiérarchiser le contenu en créant une structure logique. Le chiffre à côté du h représente le niveau dans la structure.
Qu’en dit le RGAA ? Le critère 9.1 nous indique que l’information doit être structurée par l’utilisation appropriée des titres. En effet, les titres sont un réel repère permettant aux utilisateurs avec un lecteur d’écran de naviguer plus facilement dans la page web.

Excellent ! ARIA complète la sémantique du code HTML. Il s’agit d’un ensemble de rôles et d’attributs HTML qui véhicule aux lecteurs d’écran la sémantique que la CSS communique aux personnes qui voient. Cela permet d’améliorer l’accessibilité des interfaces.

ARIA complète la sémantique du code HTML. Il s’agit d’un ensemble de rôles et d’attributs HTML qui véhicule aux lecteurs d’écran la sémantique que la CSS communique aux personnes qui voient. Cela permet d’améliorer l’accessibilité des interfaces.

Excellent ! Un lien d’évitement est bien un raccourci qui permet de contourner le regroupement de liens de navigation (comme le menu) pour aller directement dans le contenu principal (par exemple le contenu de la page). C’est surtout utile aux utilisateurs naviguant au clavier.
Qu’en dit le RGAA ? Le critère 12.7 nous explique que chaque page web doit posséder un lien d’évitement ou d’accès rapide à la zone de contenu principal.

Un lien d’évitement est bien un raccourci qui permet de contourner le regroupement de liens de navigation (comme le menu) pour aller directement dans le contenu principal (par exemple le contenu de la page). C’est surtout utile aux utilisateurs naviguant au clavier.
Qu’en dit le RGAA ? Le critère 12.7 nous explique que chaque page web doit posséder un lien d’évitement ou d’accès rapide à la zone de contenu principal.

Bravo ! Le RGAA stipule que chaque son déclenché automatiquement doit être contrôlable par l’utilisateur (critère 4.10).

Maintenant, imaginons un contexte d’utilisation avec un lecteur d’écran. Si le son se déclenche automatiquement, l’utilisateur guidé à la voix grâce à la synthèse vocale a du mal à retrouver le bouton pour mettre en pause la vidéo.

De plus, cela peut perturber l’utilisateur, voire le mettre en danger s’il est particulièrement sensible (épilepsie, spasmophilie, etc.).

Les vidéos qui se déclenchent automatiquement sur un site sont à éviter. Le RGAA stipule que chaque son déclenché automatiquement doit être contrôlable par l’utilisateur (critère 4.10).

Maintenant, imaginons un contexte d’utilisation avec un lecteur d’écran. Si le son se déclenche automatiquement, l’utilisateur guidé à la voix grâce à la synthèse vocale a du mal à retrouver le bouton pour mettre en pause la vidéo.

De plus, cela peut perturber l’utilisateur, voire le mettre en danger s’il est particulièrement sensible (épilepsie, spasmophilie, etc.).

Excellent ! En effet, pour que la vidéo soit accessible, le RGAA indique que chaque média temporel préenregistré (comme une vidéo) doit avoir :

– Une transcription textuelle OU une audiodescription (critère 4.1.2)

– ET des sous-titres synchronisés (critère 4.4).

Comment ces éléments améliorent l’accessibilité ? Les personnes en situation de handicap auditif ont du mal à suivre la vidéo mal sous-titrée. L’audiodescription permet aux personnes en situation de handicap visuel de consulter la vidéo sans l’image.

La transcription textuelle est une autre alternative pour suivre la vidéo sans le son ni l’image. En effet, elle contient à la fois le texte des sous-titres et celui de l’audiodescription.

Pour que la vidéo soit accessible, le RGAA indique que chaque média temporel préenregistré (comme une vidéo) doit avoir :

– Une transcription textuelle OU une audiodescription (critère 4.1.2)

– ET des sous-titres synchronisés (critère 4.4).

Comment ces éléments améliorent l’accessibilité ? Les personnes en situation de handicap auditif ont du mal à suivre la vidéo mal sous-titrée. L’audiodescription permet aux personnes en situation de handicap visuel de consulter la vidéo sans l’image.

La transcription textuelle est une autre alternative pour suivre la vidéo sans le son ni l’image. En effet, elle contient à la fois le texte des sous-titres et celui de l’audiodescription.